L’enjeu est économique,
cette privatisation offrirait au secteur privé la possibilité d’abuser de sa situation de quasi-monopôle en Ile de France pour imposer ses tarifs et ses conditions.
La protection des salariés est également en jeu. En effet, dès lors qu’il faudra rémunérer les actionnaires, c’est sur le personnel que la firme risque de taper en priorité.